3 clés essentielles pour se libérer de la tristesse !

Séverine Content
il y a 1 an | 12 min de lecture
3 clés essentielles pour se libérer de la tristesse !

Comme je l’expliquais dans l’article sur la loi de l’attraction, pour pouvoir manifester nos rêves, il est utile, avant, de libérer les émotions lourdes qui abaissent nos vibrations. 

Car c’est en fonction de notre niveau vibratoire que nous allons nous créer une réalité plus ou moins agréable à vivre…

Or en ces temps troubles, nous sommes sans doute nombreux à connaître des passages émotionnels pas toujours faciles à traverser, et donc à voir notre taux vibratoire chuter. 

C’est pourquoi j’ai eu envie de vous transmettre, au fil des articles, des astuces toute simples (encore faut-il les connaître !) pour vous libérer des émotions pesantes.

Et ainsi augmenter les vibrations grâce auxquelles vous allez manifester vos rêves.

Dans cet article, nous allons voir plus précisément comment se libérer de la tristesse, avec trois clés essentielles !

Et ce, avec grâce et simplicité, par dessus le marché ! 

Si, si ! 😉

Prêt à découvrir ces trois clés qui vont vous permettre d’alléger votre cœur ?

Alors bonne lecture ! 

Ouvrir la porte à la tristesse

La première chose à faire quand on veut se libérer de la tristesse, c’est tout simplement de lui ouvrir la porte.

Ça vous paraît bête ? Basique ?  

Et pourtant… 

Accueillir et observer votre tristesse est VRAIMENT une étape fondamentale pour vous sentir mieux.

Comment faire ?

Simplement prendre un temps de pause, de silence.

Je dirais même « de recueillement ».

L’idée ici est de vous accorder un tête-à-tête avec votre peine.

Dans quel but ?

Pour que la tristesse ne reste pas à la porte de votre Conscience, cachée dans votre Inconscient, prête à vous saborder ou vous prendre par surprise à la première occasion…

Vous préféreriez ignorer votre tristesse ?

Eh bien, lisez donc ce qui suit, pour éviter une telle erreur.

Rien ne sert de fuir la tristesse...

Première raison pour laquelle il est préférable de ne pas mettre un voile sur votre tristesse :

Le fait de la laisser à la porte de la Conscience ne la fera pas disparaître.

Du coup, autant lui ouvrir et l’accueillir… 

Ça peut paraître évident, dit comme ça, mais ce n’est pourtant pas ce que l’on fait en premier.

On aurait même tendance à faire l’inverse.

Car personne n’aime ressentir la tristesse… 

On aimerait bien, au fond, pouvoir la laisser à la porte, et continuer notre petit bonhomme de chemin comme si de rien n’était.

Pour ne pas éprouver la douleur qui l’accompagne, c’est vrai qu’on peut être tenté de mettre un voile sur la tristesse.

La fuir.

Se divertir de toutes les façons possibles pour ne pas avoir à la ressentir.

Tentant et compréhensible, oui.

Mais tout aussi inutile ! 

En effet, cette fuite est un piège émotionnel. Un leurre de l’ego.

Elle ne fera en rien disparaître votre peine. 

Et vous le savez, intuitivement, n’est-ce pas ? 

Pire ! Cette fuite en avant risque même de renforcer votre tristesse.

Car toute émotion refoulée s’imprime encore plus profondément en nous.

Tapie dans l’ombre, elle attend le moment où un événement extérieur viendra nous déstabiliser pour rejaillir sans crier gare.

... Émotion qui par essence ne fait que passer !

Alors pour éviter un tel désagrément, osons  ouvrir dès maintenant la porte à cette tristesse qui ne demande qu’à sortir ! 

Et rappelons-nous que par nature, les émotions ne sont pas censées élire domicile en nous.

Elles sont faites pour être extériorisées, libérées…

C’est d’ailleurs ce qu’indique l’étymologie du terme « émotion » qui vient du latin ex movere, qui renvoie à l’idée d’un « mouvement en dehors ».

En théorie, les émotions ne font donc que passer, nous traverser…

Mais en pratique, il est fréquent que nous bloquions inconsciemment ce processus naturel de libération émotionnelle.

Souvent par peur de nous exposer à ces vagues intérieures dans lesquelles nous craignons de nous noyer.

Pourtant, j’insiste : 

Prendre conscience des émotions qui nous habitent est le premier pas vers la libération intérieure ! 

Laisser s’exprimer sa tristesse

Vous avez trouvé le courage de prendre un temps de pause méditative pour accueillir votre tristesse ?

Bravo !! 👍

Maintenant que vous avez conscience de sa présence, que vous lui avez ouvert la porte, je propose d’écouter ce qu’elle a à vous dire. 

Notamment les raisons pour lesquelles elle est venue à vous…

Le temps d'écoute de la tristesse

Pour tenter de découvrir l’origine et les messages de votre tristesse, vous pouvez vous poser certaines questions :

▶️ Un événement récent et personnel vous a-t-il heurté ?

▶️ Est-ce le contexte collectif qui vous attriste ?

▶️ Ou votre tristesse remonte-t-elle à beaucoup plus loin ?

Il se peut aussi qu’elle résulte d’un trop-plein, d’un mélange de désillusions et de contrariétés successives…

Rien ne vient ? Ce n’est rien…

L’idée n’est pas de vous triturer les neurones pour trouver quelle est la raison exacte de votre tristesse.

Souvent d’ailleurs le mental nous éloigne, plus qu’il ne nous rapproche, de notre vérité émotionnelle…

Sans compter qu’une tristesse nous habite parfois sans que l’on ne sache pourquoi…

Cela ne vous empêche en rien de vous en libérer !

Il s’agit juste ici de vous familiariser au dialogue intérieur.

De reconnaître et questionner les émotions lourdes qui obscurcissent vos journées…

Une fois que vous aurez pris le temps d’interroger votre tristesse, vous pourrez lui offrir un espace d’expression pour qu’elle pèse moins sur votre cœur.  

Autorisez-vous donc à laisser sortir votre tristesse !

Car si vous lui avez ouvert la porte, c’est bien pour qu’elle vous quitte, et non pour simplement lui dire bonjour ou la contempler de plus près.

Les mille et une façons de laisser la tristesse s'exprimer

Pleurer

Le plus simple et le plus naturel pour libérer votre tristesse, c’est de pleurer. 

Élémentaire, mon cher Watson !

Laissez simplement couler les larmes. 😢

Tout va bien. 

Aucun risque de vous noyer dans ces perles liquides au goût salé… 

Voilà ? 

Mesdames, un petit check-up du rimmel dans un miroir, et vous pouvez reprendre le cours normal de votre activité, ni vue ni connue ! 

Messieurs, faut-il vous rappeler qu’en tant qu’être humain, vous aussi, vous avez le droit de pleurer ? 

Alors, comment vous sentez-vous après ça ? Un peu plus léger ?

Je vous le souhaite, en tous les cas…

Personnellement, je trouve que pleurer un bon coup fait un bien fou ! 

Non ? 

Écrire

Autre moyen pour laisser parler votre tristesse : la coucher sur le papier.

Au bout de la plume, la tristesse se déverse à l’extérieur, et se dissipe peu à peu de vous, pour aller s’ancrer (ou s’encrer) sur le papier.

Á titre personnel, je considère l’écriture comme un moyen créatif très efficace pour se libérer intérieurement.

Et pour vous donner une idée de l’aspect cathartique de l’écriture, vous pouvez lire (ou relire) un texte poétique que j’ai justement écrit, il y a quelques années, pour me libérer d’une petite tristesse : "Bonjour Tristesse".

Faire de l'art

Vous n’êtes pas branché écriture ?

Aucun souci !

Vous pouvez tout aussi bien libérer votre tristesse par une autre forme créative, comme le dessin, la peinture, la chanson…

Il suffit de vous connecter à votre ressenti et de vous laisser guider par lui.

Plutôt que de les fuir, cocréez avec vos émotions ! 

Autorisez votre tristesse à vous transformer en artiste ! 

Pensez aux paroles de Brassens, dans « Il n’y a pas d’Amours heureux » : Ce qu’il faut de malheur pour la moindre chanson

OK, ce n’est pas la chanson la plus guillerette qui soit mais elle est belle.

Et elle illustre bien à quel point les émotions douloureuses peuvent être transmutées en chefs d’œuvre.

Certes, on ne finira pas tous paroliers talentueux, peintres de génie ou poètes d’exception.

Mais ce pouvoir magnifique de créer de jolies choses à partir d’émotions lourdes, on l’a tous ! 

Et l’essentiel, c’est que ça sorte ! 

Alors laissez vivre votre tristesse !

Laissez lui se frayer un chemin à travers vos méandres intérieurs pour qu’elle puisse vous quitter.

Parler

Dernière suggestion pour vous libérer de votre tristesse : en parler.

N’hésitez pas à confier vos ressentis à une personne de confiance, comme votre maman, un ami proche, une thérapeute…

Ou moi, si vous le souhaitez !

⚠️ Pour ça, je vous invite à réserver un accompagnement individuel, spécialement conçu pour vous libérer de la tristesse.

En tous les cas, quel que soit le moyen d’expression que vous choisissez, souvenez vous qu’il est bon de mettre des mots sur votre tristesse ou de la laisser s’exprimer par l’art.

Ne pas la refouler est votre priorité ! 

S'adresser à la partie de soi qui est triste

Bon, maintenant que vous avez donné la parole à votre tristesse, à vous de lui parler !

Quoi ?! Se parler à soi-même ?! Mais n’est-ce pas signe de folie ?! 

Hihihi ! 

Eh bien, non ! C’est même, tout à fait naturel…

OK, cela peut paraître surprenant.

C’est du reste quelque chose qu’on fait rarement.

Mais s’adresser à la partie de nous qui éprouve de la tristesse ouvre la voie à notre pouvoir d’autoguérison émotionnelle. 

Car oui : quand vous vous sentez triste, ce n’est pas tout votre Être qui éprouve cette tristesse, mais juste une de vos nombreuses facettes qui est blessée et qu’une autre facette peut guérir.

Les diverses facettes de l'Être

Même si vous ne l’avez peut-être jamais conscientisé clairement, j’imagine que vous avez déjà perçu que vous êtes une unité complexe. 

Tout comme le diamant finement taillé, vous présentez diverses facettes à l’intérieur de vous.

Et elles sont nombreuses, ces facettes qui constituent notre Être ! 

Parmi les principales, on peut citer l’Enseignant, le Thérapeute, l’Amant, le Chaman, le Guérisseur… Ou le fameux Enfant intérieur.

Comme ce n’est pas l’objet de l’article, si vous voulez creuser ce sujet et mieux comprendre le fonctionnement de ces facettes, je vous renvoie à un ouvrage de référence sur le sujet : 

« La puissance de l’Être », de Jean-Marie Muller dont j’ai suivi les enseignements. Il en parle bien mieux que moi… 

Revenons-en à notre tristesse.

La tristesse de l'enfant intérieur

Lorsque la tristesse est diffuse, que l’on n’en comprend pas bien l’origine, c’est souvent qu’elle remonte à loin.

Peut-être à l’enfance…

Si c’est le cas, c’est donc notre enfant intérieur qui exprime son mal-être à travers nos larmes d’adultes. 

Et cet enfant blessé qui pleure en nous ne sèchera ses larmes que lorsque la tristesse qu’il a dû taire à l’époque aura été entendue.

Que faire alors ?

Bah, exactement ce que vous feriez pour consoler un enfant qui pleurerait face à vous !

En lui parlant avec douceur, en le rassurant, en le sécurisant…

Et non en lui intimant de se taire et en ignorant sa détresse.

Car c’est bien ce que vous faites lorsque vous cherchez à fuir une tristesse remontant à l’enfance : 

Vous malmenez votre enfant intérieur.

Je ne dis pas cela pour vous culpabiliser, ni vous faire passer pour un bourreau d’enfants, hein ! 

Mais juste pour vous sensibiliser à ce pouvoir que vous avez de devenir un bon parent pour l’enfant intérieur qui pleure en vous.

Cela dit, la tristesse peut venir de n’importe quelle autre facette de notre Être.

Et encore une fois, peu importe que vous sachiez identifier précisément la partie de vous qui éprouve de la tristesse.

Ce qui compte, c’est d’avoir conscience qu’une partie de votre Être est blessée. 

Aussi je vous invite à reprendre votre Pouvoir intérieur de Guérisseur en vous adressant directement à cette partie de vous en souffrance. 

Même si vous n’en connaissez pas la cause, laissez simplement résonner ces mots à l’intérieur de vous : 

« J’entends ton désarroi et je suis là là pour t’aider à t’en libérer ».

Ho'oponopono : le pouvoir d'apaiser votre tristesse par les mots et l'intention

Petite remarque introductive :

Si vous êtes très aguerrie au développement personnel mais avez peu l’habitude d’emprunter la voie spirituelle pour aller vers plus de bien-être, vous risquez au début de trouver certaines de mes suggestions bizarres. 

Et ce n’est pas un souci ! 

Essayez simplement de vous prêter au jeu et voyez par vous-même…

Je suis certaine qu’en pratiquant vous découvrirez, comme ce fut le cas pour moi, à quel point cela peut vous aider.

La consigne est toute simple :

Intériorisez-vous, en fermant les yeux. 

Prenez un temps pour vous détendre et vous concentrer sur votre respiration…

Puis adressez-vous à la part de vous qui souffre, en prononçant ces mots, intérieurement ou à voix haute : 

« Désolée. Pardon. Merci. Je t’aime ».

Cette formulation est issue d’une pratique ancestrale hawaïenne appelée « Ho’opononpono » qui vise à pacifier et purifier les conflits (en nous comme au sein d’une communauté).

Je reviendrai sur cette pratique plus en détail dans un prochain article, mais si le sujet éveille votre curiosité, n’hésitez pas à l’explorer par vous-même !

Une valeur sûre pour ça, c’est le livre de Luc Bodin que vous pouvez vous procurer via ce lien : Le grand livre d’Ho’oponopono.

Vous pouvez aussi regarder les vidéos d’Hannah Sembelly dont j’ai suivi, là aussi, les enseignements et auprès de laquelle je me forme régulièrement. 

Elle est super calée en la matière ! 

 

Á présent, souriez ! La pluie en vous cessera, c’est une certitude.

Et pour cela, vous n’avez qu’une chose à faire !

Accepter qu’il pleuve un temps sur votre royaume intérieur, utiliser les trois clés que nous venons de voir et cultiver la foi dans le fait que le soleil reviendra. 🌞

Emotionnel

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